Entre 2011 et aujourd’hui, sa production s’est caractérisée par un flot incessant de versatilité avec d’habiles sorties chez LuckyMe (SXLND), Hotflush avec le bien-aimé Sepalcure, et la blitzkrieg dancefloor JETS, sa plus récente collaboration avec Jimmy Edgar… Autant de sorties, collaborations et autres remix qui lui ont permis d’avoir un temps d’avance sur les autres, pendant que ses fans et les critiques musicaux attendaient impatiemment sa prochaine vision.
Avec Vapor City, son premier disque chez Ninja Tune (signature que Stewart a annoncé avec Billboard en mars dernier et inaugurée lors de sa prestation surprise au SXSW pour le showcase du label), l’homme aux nombreuses facettes est reparti à zéro armé de l’inspiration qui germait au plus profond de son psyché. Basé sur des rêves récurrents faits durant toute une vie sur une ville nommée Vapor City. Cette ville est devenue si vive dans son esprit que Stewart peut la décrire en détail quartier par quartier et il en a enfin élaboré le paysage sonore complet faisant aussi office de carte de son univers imaginaire.
Pour le moment, la topographie demeure un mystère, mais avec un nouveau design du site machinedrum.net qui dévoilera la route menant à Vapor City et le single « Eyesdontlie » représentant le premier quartier, le sentier menant vers le nouvel univers de Travis Stewart commence dès aujourd’hui.
Comme nous l’explique Stewart, « le projet Vapor City est un album inspiré par une ville de rêve, pas seulement ma ville de rêve, mais celle de n’importe qui. C’est devenu un rêve si récurrent dans ma vie que j’ai commencé à en créer la musique, une collection de chansons représentant chacune un quartier de la ville. « Eyesdontlie » est le premier quartier : donc bienvenue à Vapor City. »