Apolline est née en 2012 dans le Midwest français sous l’impulsion de cinq têtes brûlées venant de Blois, Tours et Paris. Fortement marquée par le stoner, elle développe son propre style à la croisée des chemins entre le blues spontané de Skip James, les roulements imposants de John Bonham de Led Zeppelin et les guitares grisantes de Queens Of The Stone Age. D’influences contemporaines associées à de solides bases seventies, les morceaux du quintet sauvage sont un savant mélange entre énergie, harmonie et lyrisme ravageur.
Baptisée en 2013 avec un premier album No Longer Rain (M&O Music, Believe), Apolline se démarque de ses pairs en faisant état de ses talents et de ses humeurs. Théâtrale et imposante elle n’a de cesse de rechercher l’énergie dévorante et sans compromis. Après s’être produit dans les clubs et bars tourangeaux (Les Trois Orfèvres…), blésois (Le Chato’do…) et parisiens (Le Bus Palladium, Le Batofar) c’est dans les clubs de New-York que le groupe est allé traîner son rock contagieux. Une première fois en octobre 2013, étudiant le terrain, Apolline y retournera une seconde fois en octobre 2014, intégrant cette fois-ci la prestigieuse programmation de l’un des plus gros festivals de New York, le CMJ Music Marathon. Le groupe s’offre même un passage à Toronto pour une date dans le mythique club The Cherry Cola’s, déjà hanté par des noms tels que Them Crooked Vultures ou Jack White. En mai 2015 ils repartiront au Canada pour une tournée de quelques jours qui s’achèvera par la Canadian Music Week de Toronto au Supermarket et au Cherry Cola’s.
Aujourd’hui c’est avec Olivier Unia que la complicité s’est installée. Profitant ainsi d’une direction artistique plus globale, Apolline revient avec un nouvel ep Far And After (Hybridcore Prod, Wiseband), et l’envie insatiable d’en découdre encore et toujours avec la scène.